Chroniques parodiques du forum, par Mégami Hells

Hey ! Surprise pour tout le monde aujourd'hui ! \o/

Alors voilà, j'ai étudié les caractères que chacun de nous avions sur la chatbox, et j'ai décidé de reprendre ça sous forme d'une fiction du style théâtral. Disons que depuis mercredi dernier, ce trip m'est venu à l'esprit et que j'ai pas pu m'en détacher XD

Donc, au départ j'avais l'intention de tout poster en un seul chapitre, mais finalement je crois que ça va être en plusieurs, car mine de rien c'est long à écrire et ça sera aussi trop long à lire pour vous si je ne le fais pas.

Ca doit peut-être être encore flou pour vous pour l'instant, mains vous inquiétez pas, vous allez comprendre bien assez tôt.

Allez, bonne lecture ! 8D

Partie 1

Spoiler:

Partie 2

Spoiler:

Partie 3

Spoiler:

_______________________________________________________________________

Prologue

Attendez, attendez, là, stop stop. Ce truc là, « caméra cachée » ou j’sais pas quoi, c’est nul.

Mégami : Mais la ferme, c’est toi qui l’a écrit !

Hein ? *regarde l’auteur du topic*... en effet. Attends mais comment ça se fait, là ? Je suis en train de trouver un de mes travaux nul ?

Mégami : Fais pas genre que tu t’en souvenais plus, je t’ai vu sur Skype, t’as dit plusieurs fois que t’allais écrire la suite et que tu trouvais que tu l’avais déjà mal écrit. Et même que les autres t’ont répondu qu’eux ils avaient trouvé ça déjà très marrant, et que...

Eh voilà, EH VOILA, MERCI, encore un couillon qui gâche toute ma mise en scène, sérieusement vous avez que ça à faire de votre vie ?

Mégami : Je te rappelle qu’actuellement je suis en cours et que c’est toi qui m’a dérangé pour que je casse ta propre mise en scèn...

Mais CHUUUUUUUUUUUUUUT arrête stop !

Mégami : Eh bah la prochaine fois tu me dérange...

Blaaaablablablabla BREF retourne écouter ton cours, je sais pas qui est ton prof’ mais il va pas être très content de voir que t’y portes pas attention.

Cysiam : C’est moi son prof’. Et j’ai tout entendu.

Eh mince...

Cysiam : Pas de mince avec moi. La prochaine fois que t’essaies de rejeter la faute sur quelqu’un d’autre je m’occupe personnellement de ton cas et je peux t’assurer qu’après ça tu ne seras plus en état d’écrire avant un bon moment.

Oui bon d’accord d’accord j’arrête. Sur ce. *relit un peu sa parodie*... soit je suis trop modeste soit j’ai vachement progressé depuis... attends c’est contradictoire ça non ? Ou alors les deux en même temps... ou aucun des deux, ouais bref je m’en fous j’vais me contenter d’écrire un truc mieux et voilà.

C’est sur ces mots que je relance donc ma parodie, sur un autre coup de tête, je le rappelle, donc vous étonnez pas si vous avez pas de suite avant trois ans. J’écris ça uniquement pour faire passer un bon moment à nous tous, comme je suis bon altruiste généreux bref vous le savez maintenant, et donc j’espère que ça va vous plaire. Parce que ça me saoulerait d’avoir écrit ça pour rien, quand même.
Je précise bien entendu que tout ce qui va suivre est à prendre au second degré et je vous demanderai de déconnecter votre raison le temps de la lecture, pour votre santé mentale.
Sans plus attendre, passons au prologue. (oui pour l’instant je fais qu’un petit prologue pour savoir si ça vous intéresse).

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Il était une fois... non, c’est nul comme début...
Dans une région du monde indéterminée pour le bon scénario de cette parodie, il faisait nuit noire. Et c’est dans cette nuit noire que se trouvait... un manoir noir. Et dans ce manoir noir se trouvaient des pièces noires. Des salles hein, pas des pièces de monnaie. Et dans une de ces pièces noires, se trouvait... un homme en noir. Et sous les pieds de cet homme en noir, se trouvait... un parquet noir. Et sur ce parquet noir, devant les pieds de l’homme en noir, se trouvait... un dentier ? WTF ?

Homme En Noir (abrégé à partir de maintenant en HEN pour plus de facilités ET parce que j’ai la flemme) : Fi’f’est’fenfore’fombé !

L’homme en noir se baissa puis remit en place son bien lui permettant de s’exprimer dans un langage oral compréhensible.

HEN : Petit con de dentier, va !

HEN saisit alors deux maracas arcs-en-ciel sur son bureau et commença à sautiller et pivoter sur lui-même, rituel d’invocation de ses plus fidèles serviteurs, mais aussi, de ses plus puissants.

HEN : SYBRATEEEEEEEEEEEEEEERRRRRRRRRRRRRRS ! A MOOOIIIII !
Voisin de la maison d’à côté : C’est pas bientôt fini ce bordel ?!

A problème logique, solution logique. L’homme en noir ouvrit sa veste noire, y saisit son fidèle scalpel, se rendit chez son voisin et découpa une partie de la peau de son bras (son bras à lui, à l’homme en noir, hein) puis la lança sur son voisin. Traumatisé, celui-ci s’évanouit, et l’agresseur revint tranquillement chez-lui en sifflotant l’air de « On rentre du boulot ! ».

Une fois de retour dans son manoir noir et dans la pièce noire dont nous avions parlé un peu plus tôt, il eut tout le loisir de constater que ses Syrbaters... Sybartres... Sy... bref vous avez compris, étaient arrivés. HEN ferma la porte et ils furent donc plongés dans l’obscurité, tandis qu’il prenait place devant les Cinq. Il prit alors la parole, de sa voix pénétrante et imperturbable...

HEN : Jacques a dit : « Prosternez-vous. » !

Et ils se prosternèrent.

HEN : Bien.

Et ils se relevèrent, sans toutefois qu’on puisse distinguer leurs visages. Une voix féminine s’éleva alors dans le petit groupe.

Voix Féminine : Monsieur, puis-je vous poser une question ?
HEN : Allez-y.
Voix Féminine : Pourquoi toute cette obscurité, tout ce noir ? C’est une nouvelle façon de rentrer dans l’ambiance ?

De toute évidence, cette voix notait une pointe d’ironie. Ce qui n’échappa pas à l’un de ses compagnons à la voix glaciale comme un vent froid d’hiver lors d’une nuit de pleine lune.

Voix Glaciale : Tais-toi... humaine... comment oses-tu critiquer aussi aisément le noir, et, qui plus est, sarcastiquement ? Le noir nous cache... le noir nous protège... tel une cotte de mailles... résistante, mais cependant... légère et invisible... Le seul mauvais noir est uniquement celui qui vous habite... humains misérables... je jure de traquer celui-ci et de l’éliminer... tel un missile à tête chercheuse traque un avion en plein vol... je ne cesserai d’entreprendre cette quête jusqu’à la fin de mes jours...

Mais HEN commençait déjà à en avoir marre.

HEN : Non mais cherchez pas la lampe est juste grillée. C’est arrivé tout à l’heure, d’ailleurs j’avais perdu mon den... mais passons, cela n’a pas d’importance. Si je vous ai convoqué en ce jour, c’est pas pour faire attention à des conneries de luminosité.

Il commença alors à faire les cents pas, tout en expliquant la raison de leur réunion ici, afin de paraître plus éloquent, même si de toute évidence les autres s’en foutaient parce qu’ils voyaient que dalle.

HEN : Vous savez maintenant que, dans ma longue carrière, j’ai pu effectuer de nombreuses recherches. Recherches qui ont abouti. J’ai ainsi pu établir la théorie des Dearths, comme je vous l’ai déjà expliqué. Mais il me fallait du concret. J’ai donc décidé de chercher des cobay... je veux dire, des potentiels Sybraters, en m’inscrivant comme professeur de psychologie dans une académie sur une île paumée de la région. Et comme de raison, je vous ai trouvé, tous les cinq. Cependant, une chose imprévue est arrivée hier. J’étais en train de faire cuire des légumes pour me faire de la purée, vous voyez. Et c’est alors que j’ai été pris d’une illumination. J’ai eu une vision. J’ai fait le lien entre mes travaux et ce que je faisais à ce moment. Une chose évidente, qui m’était passée sous le nez pendant des années.
Voix Féminine : Qui était ?
HEN : Jusqu’à aujourd’hui, le nombre de Dearths que j’avais découvert était de cinq. Il s’agissait du Dearth des Emotions, de l’Espace, du Temps, de la Pureté et des Rêves.
C’est un fait. J’ai découvert l’existence d’un sixième Dearth. Il s’agit... du Dearth de la Cocotte Minute.
Les cinq Sbyraters, d’une exclamation simultanée : Le Dearth de la Cocotte Minute ?!

HEN acquiesça sombrement.

HEN : En effet. Je vais donc vous confier une tâche : cherchez le Sybrater de la Cocotte Minute.

Un long silence se fit sentir dans la pièce. Les Cinq se préparaient psychologiquement. Retrouver ce Sytraber n’allait pas être de tout repos.

Autre Voix Féminine : Pourquoi ne pas le chercher vous-même ?
HEN : Parce que je vais encore passer trois ans à le trouver comme le Sybrater de la Pureté et j’ai franchement autre chose à foutre, donc autant mettre toutes les chances de mon côté. A présent, allez. Je compte sur vous.

Et les Sysbratre disparurent en ninja. Exceptée une qui avait une Gameboy à la main.

Voix Féminine : Attendez deux secondes, je finis mon combat.

Mais c’est lorsque son postérieur accueillit le Kaiten Kick qu’elle ne traîna pas et se retira elle aussi.

_____________________________
A suivre ! \o/

Partie 2 postée, oubliez pas de venir poster ici pour pas que je fasse trop de posts à la suite.

Partie 3 postée, enfin.

Et d'ailleurs j'avais oublié de mettre Ewilan.

Mais ça sera réglé dans le prochain avec une arrivée spéciale.

Bravo ! xDD
Trop drôle, t'as même mis ma Vanille-choux ! *-*

Petite surprise pour vous dans le premier post. Rendez-vous à la partie "Prologue".

Papy Drew est si bien représenté \0/

ha oui tu vois ça :
"il faisait nuit noire. Et c’est dans cette nuit noire que se trouvait... un manoir noir. Et dans ce manoir noir se..."

J'ai déjà vu le même genre de phrase dans un livre (je ne serais pas m'en souvenir par contre) et du coup je suis plongé dans la perplexité car je n'arrive pas à me souvenir D:

Autre que cette longue parenthèse.. J'ai beaucoup aimé ^^ et inutile de dire que j'ai tout de suite reconnu Kaos XD c'est tout a fait sa façon de parlé avec ses fameuses métaphore et tout. La fin était trop évidente, les kik de Drew sont tellement naturel de nos jours :3

C'est trop court! je veux savoir qui est le sybrater de la cocote minute! X)

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée