[Terminer] Voilà une entré pour le moins ordinaire ! [Pv Jason]

Extrait du journal de bord de Kirito ~

C’était la première fois que je quittais le nid douillet de la maisonnée. Quel sentiment étrange quand même… Je me sentais libre, libre de pouvoir faire quoi bon me semble. C’est pourquoi j’ai lancé Asuka dans l’océan… Bon okay, ça ne c’est peut-être pas passé comme ça, je ne l’ai peut-être pas lancé dans l’océan et ce n’était pas l’envie qui me manquait, car voyez-vous, elle fessait un tantinet exprès pour s’attirer les ennuis. Exemple, la dernière fois que je l’ai surprise en plein crime, c’était… C’est vraiment important que je l’écrive ici, oui? Eh merde… Bon voyez-vous, elle avait comme un peu réussis à ouvrir mon sac, que j’avais pourtant bien rangé dans la cabine, elle avait pris un de mes sous-vêtements et elle était partie courir sur le pont avec sa nouvelle trouvaille. Heureusement qu’il n’y avait que deux personnes fort sympathiques, qui comprenais très bien la situation même s’ils semblaient bien se marrer. Bref, je ne veux plus jamais reparler de cette incident et heureusement que Asuka ne pouvais pas parler, je suis certain qu’elle le dirait a tout le monde.

Fin de l’extrait ~

Le pire dans tout ça, c’est que ça ne faisait même pas 12 heures que j’avais quitté ma petite maison pour le confort absolu, les propos ‘confort absolu’ ont été dits avec beaucoup de sarcasme, de ce superbe bateau. Imaginez lorsque ça va faire des mois que je serai à l’académie. Comme on va s’marrer, a noté qu’il n’y avait aucun sarcasme dans ces propos. Enfin, c’est après un long trajet que notre voyage débuta et je n’étais pas au bout de mes peines.

Nous voici donc sur l’allée menant à la prestigieuse académie. Asuka me suivais docilement, pour l’instant, et semblait profité de l’agréable atmosphère qui émanait de cette école. (En fait, je suis sûr qu’elle préparait déjà son prochain coup, mais ça c’était selon moi.) Je fis de même aussi. Je pris une grande bouffé d’aire et j’avançai d’un pas décidé.

C’est alors que, comme poussé par de petit farfadet sournois, la lettre que m’avais donné mes parents tomba au sol. Je m’arrêtai et j’accroupis pour la ramassé. C’est alors que, rapide comme le vent, j’aperçu un éclair orange me passé sous le nez et que je remarquai ensuite la disparition de l’enveloppe. Au loin, un petit Caninos prenait peu à peu de la vitesse pour me semer.

- Reviens ici toute suite, jeune fille! Avais-je dis en essayant d’être sérieux et avant de me lancer à sa poursuite.

J’essayai de la rattrapé, je courais comme j’avais l’habitude de faire lorsque celle-ci me piquait un truc, malheureusement j’étais inévitablement distancé, mais c’était un chien après tout, je m’avouai donc vaincu. Pour l’instant. C’est pourquoi je m’arrêtai de courir et que je vis Asuka revenir sur ses pas. Voilà ma chance, pensez-vous et bien non. A l’instant que je voulu reprendre la lettre, elle reparti à toute vitesse dans la direction opposé. Il faut dire qu’elle était tout près maintenant… Pourquoi ne pas essayer, avais-je pensé. Mauvaise idée. Il y avait un je-ne-sais-quoi en plein milieu de l’allée et comme je suis si chanceux, je posai mon pied directement dessus, je perdis l’équilibre et je rencontrai le sol a une vitesse stupéfiante.

Je souffrais un petit peu de la chute, mon genou était éraflé, mais rien de grave. Ca va surement vous surprendre, mais j’étais bien sur le sol de l’allée, les lumières du soleil était doux. Voyant que je ne la suivais plus, Asuka était revenu sur ses pas, pour de bon, avait laissé tomber la lettre à deux centimètres de moi et était venu se couché en petite boule à ma droite. Peut-être pensait-elle que je me reposais? M’enfin bref, j’étais bien en ce moment et on n’était pas pressé par le temps, alors j’ai pris la décision de prendre cette petite pause. J’aperçu alors l’enveloppe à mes côtés. Je tendis un peu le bras et voilà, j’avais enfin l’enveloppe entre les mains.

Elle disait, en gros, que mes parents étaient triste que je sois parti, qu’ils s’ennuyaient déjà de moi et qu’il avait hâte de me voir pendant les vacances, que je pourrais amené un ami et qu’ils m’offraient ce Pokedex tout neuf. J’étais heureux d’avoir reçu se cadeau, comme ça je n’étais pas obligé d’apprendre tous les Pokémons par cœur, mais il y a une chose qui clochait… Pourquoi mes parents tenaient tant a rencontré mes futurs amis ? Ce n’est pas comme si sa serai nouveau… Si ?

Je rêvassai dignement, c’est-à-dire couché par terre en plein milieu d’une allée tout en caressant mon chien d’une main, que je ne me rendis pas compte du temps qui passa. Une bonne dizaine de minutes? Moins? Plus? Je ne saurais dire.

Spoiler:

Que voyais-je au loin? Une armée de zombie composé exclusivement de filles? C’était quoi ça, dans quelle situation je suis retrouvé encore? Ou était donc Asuka quand on avait besoin d’elle? Et qu’est-ce que je fessais dans cette ruelle sombre sans aucune possibilité de fuite? Je déteste ce sentiment de vulnérabilité. J’étais pris au piège, la horde approchait à grand pas et je ne pouvais rien faire. Si je devais mourir maintenant autant bien en finir comme un homme. Nonon, je ne vais pas faire ce que vous pensez. En fait, je partis à courir dans la direction des zombies filles et j’essayai de passer par la force. Tout cas coup, un zombie aux cheveux rouge m’agrippa fermement les épaules et une autre se jeta sur mon bras. C’est alors que je me réveillai sans sursaut, sans rien.

Un rêve, oui, bien sûr! Je m’étais assoupis sur l’allée, quoi de plus normale! Je sentis alors quelque chose sous ma main. Sur le coup, j’ai paniqué et je me suis figé, après réflexion, genre à peine deux secondes, j’ai réalisé que c’était Asuka. Ouf, une chance. Soudainement, j’ai réalisé un autre truc, que je n’avais pas fermé les yeux que quelques secondes… mais combien de temps au juste? Ca je l’ignorais.

« Hey, Les nouveaux! Tout d'abord, comme j'ai jamais vu votre tête ici, ça doit être parce que vous êtes nouveaux. Soyez donc les bienvenus à l’académie euh... Gakuen. »

Quelqu’un? Il y avait quelqu’un près de moi qui me regardais, je le savais. Bien entendu c’était parce qu’il avait ‘’parlé’’ certes, mais je le savais. Je dis parlé, mais en faite je ne sais pas. J’avais pourtant clairement entendu une voix, mais elle semblait venir de loin et de près en même temps. Peut-être était-ce mon imagination?

« ça se fait beaucoup chez vous, dormir par terre? »

Là, ça ne pouvait pas être mon imagination. En tout cas j’espère. Ce qui était bon signe c’était qu’Asuka avait levé la tête pour regarder dans une direction. Je me levai tranquillement et je dis, en même temps de m’étiré.

- Merci bien et euh… Je ne sais pas… Je ne crois pas vraim…

J’avais cherché aux alentour et je n’avais rien aperçu, c’est alors que j’avais décidé de regardé vers le sol et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir un Pokémon mauve. Ce Pokémon était d’une beauté saisissante, une beauté a gagné toute les concours de beautés Pokémons. J’en eus le souffle coupé, littéralement. Sérieusement, j’en avait vu des Pokémons, des beaux et des laids. Je peux même vous faire un petit classement. En première position celui-là, en deuxième Asuka et en troisième un Pikachu, que j’avais vu pleurer. Comme ça m’avais fendu le cœur de le voir si triste. Bref, je devais avoir l’air stupide à contemplé ce Pokémon avec un air ahurie.

- Asuka, t’aurais pas vu le dresseur de cette petite bête? Elle semble seule, tu ne trouves pas? Peut-être qu’elle s’est perdu? J’imagine que son maitre la recherche en ce moment.

Elle aboya donc, pour me dire je ne sais quoi, elle voulait peut-être me dire qu’elle l’avait aperçu toute à l’heure? Enfin bref, je m’avançai vers le Pokémon et je posai ma main sur son pelage mauve et je lui dis tout doucement, comme si elle me comprenait.

- Que fais-tu ici toute seule, hin? Si seulement je pourrais comprendre le langage des Pokémons.

Il n’y a personne qui aurait pu prévoir la suite des événements. Même moi, avec mon imagination débordante.

_ « Hé, toi. Je ne suis pas une petite bête, j'ai la taille parfaite ! Non mais... Et puis, je suis un mâle. Quoi, tu veux une preuve ? Tu n'en as jamais vu, des mauves ? Y'a même des mâles roses, comme les rondoudous mâles ! »

M’avait-il dit, en prenant un air hautin et fermant les yeux. Il en ouvrit un pour me regarder.

« Cependant, je te pardonne, tu as flatté mon ego en pendant que j'étais des plus beaux. »

Il se penchait lentement et déposant une sorte de sphère tricolore, une balle que je n’avais jamais vu auparavant. Je me doutais cependant que c’était une Pokeball spéciale. A quoi bon pourrais-je l’utilisé, moi qui suis tellement habitué de jouer avec ça?

« Au fait! Je m'appelle Jason, je suis seul, oui. Et j'ai pas vraiment de maître. Puis, au nom de tous les pokémons, je me permets de te dire, qu'on vous comprend, nous aux humains. Ce n'est pas parce que vous ne parlez pas notre langage que nous ne comprenons pas le votre. »

Je m’étais sortie de l’état de stupeur, il y avait un moment de cela. Je ramassai la pokeball et je m’accroupis pour être à la hauteur du Pokémon. Sans le vouloir, j’avais peut-être un air trop sérieux sur mon visage. Je ne pouvais faire autrement, entendre un Pokémon parlé ce n’était pas donné à tout le monde tous les jours. Je dis, d’un ton plus ou moins sur de moi.

- Enchanté, je m'appelle, Kirito, Kirito Rivers. Je suis désolé de t’avoir offensé en disant que t’étais une femelle, je ne le savais pas. Je te pris de me pardonné, Pokémon de taille parfaite.

Je dis la dernière partie de ma phrase en plaisantant bien sûr. Je ne le pensais pas et j’espérais que Jason le savais. Sur ce, il y avait quelques malentendus qui planaient encore au-dessus de nous.

- T’sais que je n’ai jamais dit que vous, les Pokémons, vous ne comprenez pas les humains… J’ai dit que j’aurais aimé pouvoir savoir ce que t’avais à dire, en fait ce que tous les Pokémons avaient à dire. Pour ton cas, je suis plutôt surpris, mais bon. Sa fait de toi quelqu’un d’unique.

Il devait penser que je disais cela à cause de la couleur de son pelage ou de son don de télépathe. J’imagine que c’est ce que pense la plus part du monde qui veulent le capturer, mais qui prendrait le temps de dialogué avec lui? Moi, bien sûr.

Attendez, il m’a bien dit qu’il n’avait pas de maitre? Finalement, j’avais bien raison quand je disais qu’il était peut-être seul. Imaginez être à sa place, sans personne avec qui parlé, sauf quelques exceptions et être toujours obligé de fuir à l’ instant où quelqu’un aux idées malveillantes, c’est-à-dire de le capturer, l’apercevait. C’est alors que je me recouchai sur le dos, resté accroupis nécessitait beaucoup trop d'énergie pour moi, mais je m'étais couché de manière a pouvoir voir Jason si celui-ci me parlait. Je lui demanda alors très sérieusement, en regardant le ciel d'un oeil distrait.

- Dit, Jason… Comment c’est d’être comme toi? Je veux dire. Comprendre le langage des Pokémons, pouvoir répondre aux humains, fuir les dresseurs et ne pas avoir personne sur qui t'appuyé. Euh… Ce n’est pas ce que je voulais dire. Ce que je disais c’est que… Tu n’as pas de dresseur, donc tu es libre… Mais être libre quand il n’y a personne pour toi, comment est-ce que tu le vis ?

Euh… C’était quand même profond. Je ne me doutais en aucun cas que Jason était incapable de se débrouillé seul. J’étais triste pour lui. C'étais simplement ça. Son cas venait me prendre par les sentiments. J’imagine comment aurais été Asuka, il y a deux ans, si je ne le l’avais pas adopté. Elle sera devenu un Pokémon orpheline et elle se serai fait capturer par quelqu’un d’autre surement. Je dis bien surement, il y a des plusieurs scénarios possible, bien sûr. Je passai donc mon regard vers Asuka qui semblait faire la connaissance de Jason en le reniflant bruyamment.

- Asuka, arrête de faire ça, j’suis sûr que ça le dérange. Viens donc ici à la place.

Lui avais-je dis en lui levant mon bras, de manière a se qu'elle puisse se couché près de moi et que je puisse la caressé en même temps. Elle lâcha un petit soupire déçu, mais elle vient quand même prendre place. Je caressa doucement son pelage orange et mon regard se reposa ensuite sur Jason.

_ « Comment c'est d'être moi ? Je ne fuis pas tout le monde. Je viens souvent ici ou en ville en connaissance de cause, mais parfois, souvent, lorsque je rencontre un pecnot qui veut me capturer de force, comme ce toute à l'heure, ça me met en rogne. C'est plus parce que j'ai la flemme de courir, je suis très... feignant, je l'avoue. »

Il était feignant? Nous avions donc un point en commun. Cependant, j’étais feignant à ma manière. Je faisant en sorte d’économisé le plus d’énergie pour quelque chose qui en valait plus la peine ou pas. C’était juste, parce que j’étais un gros feignant de temps en temps.

« Mais venir à l’académie vaut le coup, il y a beaucoup de nourriture et faire peur aux humains, est très drôle. Ça été mon plus grand amusement depuis que je suis ici, enfin... depuis que je suis arrivé au Mont Couronné et qu'Ectoplasma et Motisma m'ont adopté. » Avait-il dit en ricanant un petit peu.

Euh… J’avais pas tout suivi. Il c’était fait adopter par un Ectoplasma et un Motisma… C’étaient quoi déjà c’est Pokémon… Hum, je crois avoir déjà entendu une vielle légende sur les Ectoplasma quand j’étais jeune. C’était un Pokémon fantôme qui vivant dans les cavernes humides, je crois. L’autre, par exemple, j’en avais une idée.

« Tu sais ? Je n'ai pas toujours été sauvage. J'ai connu les joies d'être avec un humain, il y a très longtemps. »

Ah bon? Que voulait-il dit, par il y a très longtemps. Hum, ma curiosité était maintenant piqué à vif. Il dit de pas avoir été un Pokémon sauvage toute ca vie. Alors que faisait-il seul, ici.

« Je me demande toujours où il peut être, ce qu'il fait, si Luxray, Metamorph et Porygon Z vont bien, entre autres. Hélas, j'avais moins d'un an quand j'ai fini au Mont Couronné. Heureusement qu'Ectoplasma avait été gentil avec moi. Si je te fais de la peine maintenant, alors, pas la peine de connaitre mon histoire, je risque de te faire plus pitié qu'autre chose et je ne suis pas d'humeur à sécher des larmes. »

Moi, pleuré? J’étais peut-être nostalgique au moment où je réfléchissais à ce qui m’étais arrivé, mais jamais au point de pleurer. Alors, pleurer pour une petite histoire comme la sienne. Je ne crois pas. Je déplaçai mon regard vers le pokemon, pour remarquer qu’il s’était mis à l’aise lui aussi. Il s’était couché sur le ventre de manière à ne pas s’épuisé inutilement, comme moi finalement. Je lui répondis alors en lui souriant.

- Tu peux continuer ton histoire, Jason. Ne t’inquiète pas pour moi, il serait surprenant que je pleure, même si ton histoire est la plus touchante du monde. Je ne crois pas que cela réussisse à me faire pleurer.

Mon regard retourna vers le ciel et je fermai les yeux. Je me demandai alors si j’avais déjà pleurer une fois dans ma vie. Il y a deux ans quand j’ai assisté à l’abandon de Caninos c’était de la peine et aussi un peu de rage envers son ancien maître que j’avais ressenti, mais aucunes larmes.

- J’ai une toute petite question avant que tu recommence ton histoire. Pourquoi est-ce que tu es allé au Mont Couronné et qu’a fait Ectoplasma pour toi? Tu dis que t’avais un maitre, mais où était-il à ce moment-là ? Et faire peur au humain est une de tes activité préférer? Pourtant je ne t’imagine pas faire peur aux autres. Finalement, c’était trois petites questions, désolé.

Comment faire en sorte de posé des questions sans vraiment d’ordre logique. Pas ma faute, si quand je parle, je ne pense pas toujours à quoi ce que je vais dire. Je devrai tourner ma langue sept fois la prochaine fois et réfléchir un petit peu. J’ai hâte de voir ce que ça va donner quand on prof va m’expliquer un truc. Il faut dire que ce n’est pas de ma faute, si c’est intéressent. Intéressent, je ne veux pas dire intéressant comme une cour normale, mais plutôt comme si un ami se confiait à moi, genre qu’il avait assez confiance pour me faire part de son passé, douloureux soit-il. En fait, je ne peux pas vraiment vous dire ce que j’en pense. Je n’ai jamais vraiment eu d’amis. A chaque fois que je trouvais quelqu’un de sympathique a Safrania, il n’était que de passage. Bref, ce n’était pas la joie.

J’arrêtai donc de caressé Caninos, qui sauta donc sur l’occasion pour aller voir Jason. Toutefois je ne l’empêchai pas d’allé le voir. Elle en avait le droit et peut-être l’avait-elle remarqué. Elle commençait a le reniflé encore et alla ensuite se couché a ces côté, comme une jeune enfant qui irait voir ça maman ou son papa. Au faite… Quel âge avait-elle? Je n’y avait jamais vraiment réfléchis! Euh… Cela faisait deux ans que je l’avais adopté et elle était tout jeune à l’époque. Euh… Selon mes estimations elle devait avoir 3 ans ou moins. Mais elle ne pouvait pas être si vielle que ça. Enfin bref, je me concentrai donc sur Jason et Asuka.

- Ce n'est pas grave, t'en fais pas mais c'est une longue histoire, mais, pour répondre à tes questions, je dois te raconter mon histoire dès le début. M’avait-il répondu.

Je l’écoutais attentivement, essayant de m’imaginer les scènes telles qu’elles s’étaient passées :

Il y a dix-neuf ans de cela, une jeune Evoli naquit donc dans un laboratoire, dans une ville qui m’était inconnue, de Voilaroc. Outre Kanto, je m’y connaissais extrêmement mal en géographie. Bref, la première personne que l’Évoli rencontra fut un jeune chercheur Pokémon de vingt-sept ans, assez grand, aux cheveux longs rouges et aux yeux verts lagon. Selon mes calculs, aujourd’hui, ce chercheur devait avoir quarante-cinq ou quarante-six ans surement. Ce jeune chercheur s’appelait Mercure. C’était un homme bon, qui travaillait pour une quelconque organisation, dont je ne connais également absolument rien. La seule que je connaisse était la team rocket et ceux-ci n’avais jamais lancé de satellite, comme l’avais dit Jason précédemment. Je fus quand même assez surpris d’entendre que c’était un homme doté d’une grande bonté. Un membre d’une organisation au but plus ou moins respectable, qui faisait en sorte de rendre la vie plus agréable aux Pokémons. C’était honorable de ça part. Jason me dit qu’ils étaient cinq dans ce laboratoire. Porygon Z, Metamorph, Cheniti, Luxray et lui. J’en connaissais quasiment trois de cinq, c’est quand même bon. Porygon Z c’est, j’espère ne pas me trompé,(quoique je suis sur a 96.6%) l’évolution de Porygon.

Il prit ensuite une petite pause, très très courte, mais il semblait réfléchir à quelque chose. Quoi? Je ne sais pas. Ce que je sais, c’est que se doit être en rapport à son passé, j’en étais sûr. Il est impossible de raconté l’histoire de sa vie, sans rien ressentir. Que ce soit un pincement au cœur ou un petit sourire en coin, quelques choses trahies souvent ces monologues-là.

Il reprit alors, il dit qu’il y avait un grand homme aux cheveux bleu clairs et courts en pétard, qui allait les voir de temps à autre. Il avait les sourcils toujours froncés, il était très froid à la voix très grave et rauque qui semblait être menaçant. Cet homme semblait détenir une forte autorité, sinon il était tout simplement mauvais, pour imposer une telle peur. Jason me dit que c’était le chef. Voilà qui devenait plus clair et pourquoi il semblait si froid. L’homme avait demandé à Mercure de crée une machine à partir de trois Pokémons appelé les Cré’. Que je ne connaissais pas vraiment. Je le répète toujours, je suis un boulet en matière de nom des Pokémons et de nom des villes des autres régions. Ensuite, Jason fut mis, pour la première fois, de force dans sa pokeball. S’en suit alors d’une période de quelques jours sans aucun signe de vie de la part de son maitre, Jason était dans la pokeball et ne pouvais sortir, hin.

Après, il fut sorti de force avec son ami le Luxray pour combattre. Il paraissait que son adversaire était un gigantesque Pokémon blanc et bleu, appelle Dialga Un combat se déroula, trois commandant et Mercure contre la bête, mais les crés étaient intervenus et le Dialga avait pris la fuite. Comment avaient-ils fait pour intervenir si vite… ? La machine servait à quoi ? Qui sait… ? Entre temps, Jason, qui était à l’époque un petit Pokémon peureux, c’était caché et à la retraite de son maitre et des commandants. Il resta là des jours et des jours durant, sans que quiconque de vienne le chercher. Il pense qu’il l’avait tout simplement oublié. Qui sait, peut-être avait-il raison.

L’histoire continua avec une rencontre avec un Ectoplasma, un genre de fantôme super effrayant, un genre de fantôme que vous détestez rencontré seul, la nuit au milieu d’un cimetière ou dans la forêt. Celui-ci semblait plutôt avoir eu pitié de Jason ou du moins, il semblait avoir eu une sorte d’attachement instantané. Vous savez, un lien d’amitié intense. Je crois plutôt que c’est ça. Surtout qu’il me dit que l’Ectoplasma lui avait donné de l’affection, un toit, la nourriture, etc. Je pense vraiment qu’il n’avait pas fait ça par pitié, mais par amitié.

Bref, la fin de son histoire était qu’il voyageait énormément et avec sa capacité a parlé au humain, celui-ci a pu facilement trouver les lieux ou son maitre aurait bien pu être. Je doutais sincèrement du fait que Mercure pourrait ce trouvé à l’académie. S’il fessait bien parti d’une organisation, il n’avait rien à faire ici. Quoique, s’il était comme Jason l’avait dit, peut-être avait-il renié sont passé obscure et se concentré a aidé les autres. J’essaierai de m’informer à ce sujet.

- Jason, j’aimerai te dire quelques choses.

Je laissai quelques instants de suspense pour qu’il croie, je ne sais quoi.

- En fait, je voudrais t’offrir quelque chose en échange de la pokéball que tu m’as offerte. Voilà, je rechercherai Mercure pour toi. Je veux dire par là que, si un jour je le croise, j’y dirais que tu le recherche toujours et que tu es à l’académie Gakuen.

Pourquoi avais-je dis cela et dans quelle but ? Aucun précisément, je n’avais aucun but et je ne saurais expliquer le pourquoi. Peut-être parce que je trouvais que ce pokemon méritait de retrouvé la personne qui lui est la plus cher ? Peut-être parce que je suis un Ranger et que je me dois de me porter au secours de Pokémon ? Aucune idée. Tout ce que je savais c'était que je me devais de faire ça, d'une manière ou d'un autre. Je continuai de regarder le ciel d'un air serein.

Spoiler:

Je le savais. Ma première phrase avait laissé une sorte de suspense à n’en plus finir. J’avais ressenti dans l’air un peu de nervosité de la part de Jason. J’avoue, je l’avoue, oui, j’ai dit cette phrase dans le seul but de le faire patienté, de le faire réfléchir à ce que j’allais bien pouvoir dire. Pourquoi ? Pour aucune raison particulière en fait.

Bref, voilà que j’avais terminé de dire ce que j’avais à dire. Je regardais le ciel et les nuages défilé par dizaines. C’était un magnifique spectacle, que je ne manquerai pas d’allé voir quand j’en aurais l’occasion, entre les cours et l’entrainement, parce que cette petite Caninos avait besoin d’exercice certes et je voulais surtout agrandir ma petite famille. J’imagine qu’Asuka avait besoin d’ami avec qui s’amusé. Quoique je suis quelqu’un d’exceptionnellement amusant vous savez. Quoique je n’ai aucun exemple concret à vous citer, mais bon.

Je senti alors un truc gluant sur ma joue. Je n’osai pas bougé, jusqu’à ce que je me rende compte que c’était la langue de Jason. Il était venu me lécher la joue. C’était surprenant, mes paroles l’avait-il marqué à ce point ? Pourtant si c’est le cas, je n’avais pas vraiment eu l’intention qu’il me soit redevable. Enfin, ce n’était peut-être qu’un geste de remerciement. Puis, il reparti.

- Merci beaucoup, Kirito. Vous êtes des bons gars, toi et ton amie, Asuka. Je ne m'attends pas à des miracles, mais, je garde encore l'espoir de revoir Mercure, ne serait-ce qu'une fois de plus. Dit-il. Au fait, tu ne veux pas savoir où est le secrétariat, à la base, toi ? Vu que vous êtes nouveaux, vous deux, vous ne savez pas encore où se trouvent les lieux principaux, j'imagine. Je sais bien où se trouvent les lieux les plus importants alors, suivez-moi~.

J’avais complètement oublié que je devais m’acclimaté a ces nouveaux endroits. Que suis-je bête! Moi, si feignant, était surement resté un bon moment sur l’allée avant l’arrivée de Jason. Peut-être que j’avais déjà manqué des cours supers importants. Et merde, j’espérais que ce n’était pas le cas. Je me levai tranquillement et je m’étirai à nouveau. Mes bras émirent un faible craquement et ce fut tout. J’avançai sans n’être nullement stressé par ce nouvel environnement. Puisque, je m’en était un peu habitué et que je savais que je ne pouvais pas me perdre avec un si bon guide.

J’arrivai ensuite au côté de Jason. Je jetai un regard à Asuka, qui elle, n’avait pas bougé d’un poil. Elle dormait ou elle faisait je ne sais quoi, mais elle ne semblait pas être là mentalement. Je souris et je sorti sa pokeball de ma veste. Je chuchota a Jason avant de rappelé Asuka dans sa pokaball.

- Tu sais, je crois qu’elle t’aime bien. C’est la première fois que je la vois être comme ça avec un Pokémon.

Quoique, j’avais rarement vu Asuka interagir avec les autres… Enfin, le rayon rouge parti dans sa direction et l’enveloppa complétement. Jusqu’à ce qu’elle soit complétement entouré de celle-ci et attiré magiquement dans la sphère, que je rangeai toute suite après. Je souris à Jason et j’ouvris la porte et je fis comme les plus grands majordomes de ce monde, c’est-à-dire que je lui fit signe d’entré en pointant mes bras dans la direction de la porte de manière très polis.

- Après vous, très cher.

Yeah! Jason avait embarqué dans ma comédie, comme on allait bien s’amuser! Il prit une allure un peu snob, comme si celui-ci était mon maitre, le Pokémon releva un peu plus son postérieur et il marcha comme s’il était un Pokémon de concours, qui aurait passé de longues heures à pratiqué la démarche. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire, un sourire que j’essayai de masqué en inclinant un peu plus la tête. Je devais garder mon sérieux pour que ce soit plus drôle!

« Je vous remercie, jeune homme. Veuillez me suivre or, il est bientôt dix-sept heures : Tea time~. »

Je me redressai de toute ma hauteur et je regardai devant moi. Je gardais constamment un petit sourire en coin sur mes lèvres, que je ne pouvais effacer. Je suivis Jason pendent quelques secondes, avant que celui-ci ne flanche en riant à la manière d’un humain.

« Ahah ! C'est trop pour moi, j'en peux plus, j'ai mal cul à force de le dandiner ! Je ne comprends pas les bourges, même les Pokémons sont des gros snobs ! »

Je ris moi aussi, sachant que la comédie était terminée et que je pouvais enfin me laissé aller. C’était quand même dur d’être comédien, mais parfois sa valait la peine de faire comme si. J’essuyai quelques larmes qui coulèrent contre mon gré de mes yeux, ça faisait longtemps que je n’avais pas eu de bons moments avec quelqu’un, pour ne pas dire avec un ami… Bon, reprenons notre sérieux, la visite commença donc.

Je suivais tant bien que mal Jason, qui parcourait les couloirs avec une facilité déconcertante. Pour être honnête, l’orientation n’était pas vraiment mon point fort. Je ne serai pas surprit de me perdre pendent les deux prochains mois à venir. (Oui oui, ça va me prendre tout ce temps pour m’habitué, j’en suis sûr.)Une chance que ce Pokémon m’attendait parfois, parce que j’avais la mauvaise habitude à ralentir pour observer les alentours. Peut-être que ça allait m’aidé, ou pas. Nous sommes arrivés à l’infirmerie en premier. Ensuite, nous nous sommes arrêtés au secrétariat et à la cafétéria. Pour finir, nous sommes allés devant les bureaux du personnel administratif. Je ne pensais pas que cela allait m’être bien utile, mais cela pourrait toujours me servir en cas d’urgence.

Nous nous somme finalement redirigé vers le secrétariat. Jason s’arrêta devant la porte. Moi pour ma part, j’arrêtai de bouger. Je posai un regard interrogateur sur lui avant que celui-ci ne déclare avec un sourire.

« Bon, je t'ai assez fait tourner comme un couaneton. Je vais te laisser remplir ta paperasse et tout ce tralala~ Je vais aller emmerder un peu la cuisinière, maintenant~. »

Je lui souris également, avant de dire quelques remerciements que celui-ci ne devais avoir entendu. Puisqu’il poursuivi immédiatement avant de partir en courant.

« Sur ce, j'ai la dalle! A la prochaine, Kirito~! »

-À la prochaine, Jason!

J’espérais qu’il m’aille entendu. Tant pis, si ce n’était pas le cas. Je posa un dernier regard sur Jason avant de pousser la porte du secrétariat pour aller accomplir la tâche de la journée. C’est-à-dire, avant que j’obtins la clé de ma chambre, savoir où elle était situé et la liste des cours que j’aurais.

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