Retrouvaille pour certains... Rencontre pour d'autres... [PV : N]

Retrouvaille pour certains... Rencontre pour d'autres...

Le soleil d'été procurait une chaleur intense. Tu ne pouvais pas te résoudre à rester dans ta chambre en cet après-midi ensoleillé. Ce fus avec les pokémons suivants : Beroz (Zoroark), Kage (Lucario), Utau (Gardevoir), Denki (Statitik), Zeri (Symbios), Chicco (Germignon), Kurama (Coupenotte) et Hikari (Arcanin) ; que tu décidas d'aller en forêt. Vu que tu avais quelques pokémons encore jeunes, tu décidas d'entamer une sorte de jeu, pour passer le temps. Denki s'était installé sur ton épaule droite, comme à son habitude, et regardait les autres ; Chicco semblait vouloir apprendre à léviter comme Zeri, et courait partout, espérant attraper le pokémon psy. Kage, Beroz et Utau restaient près de toi, et discutaient ensemble. Kurama était sur le dos de ton arcanin, qui semblait t'ignorer de plus en plus.

Pour s'amuser un peu plus, le Lucario te proposa de jouer à un jeu d'orientation, alors où tu avais les yeux bandés. Tu acceptas... C'était une mauvaise idée : à peine privée de ta vue, tu te pris une branche, puis un arbre, tu trébuchas... Et ainsi de suite... Bien sûr, cela faisait rire le pokémon combat et la gardevoir. Tu entendis ta Zoroark s'arrêter, comme si quelque chose la perturbait. Un instant plus tard, tu retiras le bandeau de tes yeux et tu vis la type Ténèbres s'enfuir, en ligne droite. Tu te relevas et tu regardas tes autres pokémons, avant de courir après Beroz. Tu la vis, plus loin, face à une personne. Ton pokémon était figé sur place et tremblait, elle semblait connaître l'humain. Tu regardas l'inconnu et tu voulus t'approcher. Très vite, tu fus retenue par Utau et Kage en même temps, qui, eux, avaient compris la situation. Tu restas en arrière, tu écoutas la conversation :

- N...? Je... Je ne pensais pas te revoir... Ça semble faire une éternité que je ne t'ai pas vu... Je...

Tu vis la Zoroark tourner légèrement la tête, comme pour fuir le regard de la personne. Tu n'avais jamais vu ton pokémon dans un tel état. Tu aurais voulu la soutenir moralement par une présence plus prononcée, mais tu préférais rester en arrière... Ce n'était pas ton affaire. C'était une confrontation avec une partie du passé de la Zoroark, que tu n'avais jamais connu.

© Fiche par Beroz

L’été. La meilleure saison selon moi, malgré que parfois c’était une saison assez étouffante à cause de la chaleur qu’il pouvait y avoir, mais osef. C’était toujours mieux que quand on se les gelait. M’amusant dans la forêt comme souvent. Oui. La forêt était mon lieu préférer, c’était calme et souvent remplis d’amis. Au moins, les arbres cachaient une grande partie des rayons du soleil. Ce qui rafraichissait un peu les lieux. Je me demandais un peu où était rendu Zéblitz et Elthyse, sans pour autant m’inquiéter, elles étaient capables de se débrouiller seules, après tout.

Marchant à l’improviste, pour arrêter quand une petite boule bleue avec deux ailes de cotons vit tourner autour de Zoroark et moi, joyeusement. Sonistrelle se mit à faire pareil. Tandis que Ninfia essayait de les toucher avec ses pattes quand celles-ci passaient près d’elle, sautant parfois sur Zoroark quand les deux types vols passaient près de lui. Elles étaient mignonnes à voir aller. Souriant, tout en les regardant. Je ne pouvais les empêcher de jouer.

Arrêtant de les regarder pour porter mon attention dans une autre direction. J’avais une drôle de sensation. Comme si une aura familière était non loin de moi… Ou plutôt qui se dirigeait vers nous. Zoroark avait l’air d’avoir aussi remarquer quelque chose aussi. Sonistrelle qui faisait mumusse avec la petite Tylton arrêtaient, sans comprendre pourquoi l’ambiance avait complètement changé, tout d’un coup. Rapidement se fut une Zoroark qui entra dans le décor, suivi d’une humaine accompagner de plusieurs Pokémons.

- Beroz !? Lançais-je tout aussi surpris qu'elle. Je dois avouer que j’étais content de la revoir, malgré que l’attitude de cette dernière m’inquiétait. M’approchant paisiblement, sans pour autant me préoccuper de la fille pour l’instant. Arrêtant face à Beroz, pour placer ma main droite sous son museau, la forçant légèrement à me regarder. – Ne soit pas ainsi... Tu as choisi ce chemin, n'est-ce pas ? Je suis content de te revoir, après tout ce temps. Tentais-je de la calmer un peu, je n’aimais pas la voir ainsi.

Lui souriant paisiblement. Zoroark était venu ce placer près de nous, inquiet, mais content aussi de revoir sa congénère. Tandis que curieusement Sonistrelle s’approcha de la fille pour aller lui tourner un peu autour, suivi de la nouvelle amie qui ne voulait pas la lâcher, la petite boule bleue au aile de coton.
Hrp:

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Tu regardais la scène qui suivi avec un léger sourire. Beroz releva les yeux lorsque N posa sa main sur son museau ; elle semblait désolée et presque honteuse de ce qu'elle avait fait. Kage et Utau semblaient tout aussi affligé par cette scène et ne pouvaient sourire. Tu vis un étrange pokémon, ressemblant à une chauve-souris, accompagnée d'un autre pokémon qui te disait vaguement quelque chose. Tous deux s'approchèrent de toi, tu leur souris, sans vouloir les toucher, tandis que ton Statitik sautillait sur ton épaule droite, essayant de suivre du regard les deux pokémons volants. Rapidement, ton Symbios, ta Germignon, ton Coupenotte et ton Arcanin arrivèrent, comme alerté par ton absence. Tu caressas le canin qui t'ignora littéralement avant de s'éloigner de toi, avec le Coupenotte et la Germignon sur le dos. Tu soupiras et, t'excusant rapidement auprès de ton Lucario, tu t'avanças vers Beroz. Tu posas ta main gauche sur son épaule avant de lui souffler :

- Beroz... Je te l'ai déjà dit... Mais... Si tu veux renoncer... Enfin... Je t'ai expliqué que ton bien-être passe avant moi donc... Si tu veux partir...

Ta Zoroark te coupa ; de ses pattes avant, elle agrippa ta main qu'elle sentait fuir, brisant le contact physique avec son ancien ami. Puis, elle prit la parole, comme pour te supplier.

- Non ! Je ne veux pas... J'ai fait le bon choix... C'est juste que... J'ai... Tellement changée depuis que j'ai rencontré N...

Tu souris en entendant ses paroles, puis tu lui frottas la tête. Elle était légèrement plus petite que toi. Tu la remercia de te rassurer, avant de t'adresser à l'autre personne présente :

- N... C'est bien ça ? Je m'appelle Tayla. Je suis la... L'amie de Beroz. Je n'aime pas utiliser le terme de dresseuse, qui sous-entend qu'elle est sauvage ... Ce qui n'est pas le cas. Je ne pensais pas qu'elle tenait autant aux humains... Quand je l'ai rencontrée... Elle...

Tu allais continuer lorsque tu sentis les pattes de la Zoroark se resserrer sur ta main gauche. Tu la regardas un instant et tu compris vite qu'elle ne voulait pas que tu en parles. Tu soupiras, gardant le silence. Derrière, Zeri et Chicco semblaient vouloir s'amuser avec les deux pokémons qui étaient venu te voir. Hikari restait dans son coin à grogner, Kurama sur son dos, qui mangeait quelques baies, en compagnie de Kage et la Gardevoir, Utau.

© Fiche par Beroz

Les deux types vols furent ravie de voir l’humaine leur sourire, surtout dans cette ambiance plutôt comment dire... froide ? Oui. C’était bien le mot. Après avoir salué la petite araignée électrique, tandis que trois nouveaux Pokémons arrivaient dans le décor ceux-ci allèrent se poser sur une branche non loin du petit groupe. Alors que je lâchais mon emprise sur Beroz, puisque l’humaine avait décidée d’essayer de calmer cette dernière, je me contentais d’écouter silencieusement. Au rapproche de la jeune femme, Ninfia avait sautée par terre, venant ce cacher derrière mes jambes. La petite fennec ne savait guère comme toujours si elle devait rester avec une humaine inconnue ou bien fuir...

- Tu as choisi cette voie, n’est-ce pas ? Tu n’as pas à t‘excuser, Beroz. Je peux sentir que tu es heureuse ainsi, c’est ce qu’il compte, non ? Alors, calme-toi et arrête de te tourmenter avec cela, d’accord ? Tendais-je de la réconforter à nouveau, lui souriant paisiblement.

Je n’aimais pas la voir ainsi. Certes, cela devait être surement être encore plus douloureux pour elle que moi… Arf. Que parfois ce foutu don était tout sauf utile, malgré que j’étais assez habituer au final à ressentir ce que mes amis ressentaient. Tournant finalement mon regard neutre vers l’humain prénommer Tayla. Gardant une douce aura des plus paisibles.

- Oui, c’est bien cela. Merci. Je suis content qu’elle est plus rencontrer quelqu’un qui la considères comme une amie. Euhm. Je ne crois pas que la plupart de ses créatures me classifie comme un humain, c’est peut-être pour ça... Malgré qu’au fond d’elle, je ne crois pas qu’elle les ait déjà tous hait ! N’est-ce pas ? Souriais-je à Beroz à la fin, pour continuer en vaguant mon regard sur tous les Pokémons présents, ainsi que l’humaine. - Le changement est normal. Beaucoup le fond. Si, tu savais comment j’ai changé complètement depuis mon enfance... J’ai déjà été au point où je voulais qu’éliminer complètement les humains, pour ensuite vouloir seulement les séparer de mes amis, idée de leur rendre leur liberté… Pour finalement, comprendre que cela n’était guère la meilleure solution. Malgré, que j’ai encore de la difficulté à les côtoyer... Je... Je veux crois en un avenir tous ensemble. Nous avons besoin de vous et vous avez besoin de nous. Tel est ce en quoi, je veux crois, maintenant ! Terminais-je finalement. Caressant la tête de Beroz, tout en lui souriant. Certes, peut-être que mes dire étaient assez long et inutile, mais elle ne devait pas avoir peur de changer. Du changement qu’elle avait fait, surtout si cela la rendait davantage heureux. Sans oublier que balancer cela m'avait fait un peu de bien, aussi...

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Tu écoutas N parler. Beroz semblait à la fois rassurée et heureuse, puisqu'elle commençait déjà à ronronner. Tu souris en l'entendant, restant silencieuse. L'idée du garçon était plutôt intéressante et te rejoignait assez sur certains points. Beroz ronronna un peu plus lorsque N la caressa. Tu souris, une fois de plus, avant de répondre :

- Au fond... On les appelle "Pokémons". Mais, si on retire tout ce qu'on a crée pour les "dresser"... Genre les pokéballs. Au fond, certains sont plus humains que nous. Je ne pense pas qu'il y ai deux catégories : Humains et Pokémons... On est tous un peu pareils... Au fond.

Tu regardas ta Zoroark, qui semblait approuver. Puis, lui adressant un franc sourire pendant quelques secondes, tu continuas :

- En fait... Je suis contre le principe de capturer des pokémons pour les faire se battre... Les garder enfermer tous les jours, s'en servir comme esclave... Je n'ai jamais apprécier ça. Je suis peut-être identique sur ces personnes sur certains points... Comme par exemple les Pokéballs, bien que je n'utilise que des Luxeballs, mais je ne suis pas excusable. Je veux juste les protéger, et ils le savent.

Tu jetas un coup d'oeil sur tes autres pokémons, qui semblaient, pour certains, s'amuser et pour d'autres... Comme ton arcanin, toujours de mauvais humeur. En le voyant, tu cachas un petit rire, puis Beroz prit la parole :

- Hum... En fait... Je ne déteste pas les humains... Mais je ne les aime pas non plus... Je... C'est difficile... J'en ai blessé un... Qui était mon ami... Ce que Tayla voulait dire avant... C'est que, quand elle m'a rencontré... Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Je ne savais plus me défendre, ni attaquer, j'avais perdu toute ma confiance... Et le reste... Elle m'a montré que j'étais en train de me perdre et... Elle m'a aidé... Mais je ne pourrais pas... Pas encore... Revoir cet humain pour m'excuser... Je ne pourrais jamais plus le regarder en face après ce qu'il s'est passé... Et tout ça parce que... Je suis faible, je ne me contrôle pas...

Tu laissas Beroz parler, lâchant un petit soupir, avant de frotter la tête de la Zoroark. Tu savais par quoi elle était passé et puisque c'était l'heure des confessions, elle aussi voulait y participer. Au final, Beroz te semblait plus humaine que pokémon, autant dans ses réflexions que dans ses démarches physiques.

© Fiche par Beroz

Je ne plus m’empêcher de sourire face aux dires de la fille. Oui. J’étais content et rassurer d’entendre cela venant d’un autre humain que moi-même. Disons, qu’à côté de tous ceux et celles qui prenant mes amis comme de simple objet, en voir une différente du reste du lot était toujours rassurent. Certes, je n’aimais guère ces boules qui enfermaient mes amis, mais c’était vraie qu'elle avait quand même un côté utile. Remarque que si cela ne bloquerait point leur voix du monde extérieur, je les utiliserais surement aussi, mais hélas cela n’était guère le cas. Okay. Pour Zéblitz c’était un peu différent, selon moi, je l’aurais libérer complètement de sa Pokéball, mais disons que si je fessais cela la pauvre aurait surement voulu me tuer… Mouin. Elle y était trop attacher selon moi, mais bon, je n’y pouvais rien, j’avais appris à faire avec.

Reportant mon attention via la Zoroark quand cette dernière repris la parole. Cette Zoroark qui était un peu comme moi sur les bords. Ne pouvant aimer les humains, mais ne pouvant pas les détester. Certes, la situation de Beroz était différente de la mienne, mais avait quand même un point en commun d’une certaine façon. Sa confession me laissait plus ou moins dans le même état d’esprit qu’elle-même. J’étais triste, voir troubler avec elle sur le coup. Certes, surement pas autant que Beroz, mais j’étais incapable d’empêcher mon âme de ressentir ces émotions.

- Je… Je sais. Tu es comme moi, sur ce côté-là, je ne peux les haïr, mais je ne peux pas vraiment les aimer. Commençais-je, tout en caressant doucement Beroz à mon tour. - Tu n’es pas faible, tu n’es seulement pas prête encore. Quand le temps viendra, je suis sûr que tu arriveras à passer par-dessus tout ça complètement.

J’avais préféré répondre à Beroz en premier, disons que son état m’affectait davantage. Me penchant pour récupérer Ninfia qui était toujours coller contre mes jambes doucement. Bon, L'Evoli était toujours aussi peu rassurer d’être à la hauteur de l’autre humaine, mais bon… Souriant légèrement ensuite envers Tayla.

- Être différent n’est guère mal. Je pense comme toi. Je suis contre tout cela aussi. Certes, ces boules peuvent aussi protéger mes amis dans certains cas et leur nuire dans d'autres. Mais il y a une autre raison pourquoi je ne peux les utiliser. Mes amis peuvent toujours entendre notre voix de l’intérieur, mais pourquoi le cas inverses n’est-il pas pareil ? Continuais-je tout en regardant le ciel. Certes, la raison était surement aussi simple que normalement les humains ne pouvaient comprendre les Pokémons, mais bon. – Je suis content de pouvoir rencontrer quelqu’un qui pense différent des autres. Souriais-je, tout en redescendant mon regard vers Tayla.

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Tu sentais une complicité incroyable entre Beroz et N. Tu semblas jalouse un instant, mais ta consciente de raisonna en te signalant que cela ne faisait pas longtemps que tu avais rencontré Beroz et que c'était déjà incroyable qu'elle ait décidée de te suivre. Tu fus néanmoins surprise que N ait la même vision que toi de ces choses. Tu souris une fois de plus avant de regarder Hikari. I semblait légèrement calmé, mais tu sentais encore le danger émaner de lui. Tu soupiras, caressas une dernière fois avant de t'éloigner, laissant ta main glisser, se libérer de l’emprise des pattes de ta Zoroark, qui resta silencieuse. Tu rejoignis rapidement ton Arcanin qui grognait toujours mais tu fixait, tentant de t'ignorer. Ta Gardevoir prit Kurama dans ses bras et s'éloigna avec Kage, vous laissant tranquille. Beroz restait silencieuse, si bien que le seul bruit qui se faisait entendre était les grognements presque saccadés de Hikari, qui semblait faiblir à ta simple vue, juste parce que ton regard froid s'était posé sur lui. Tu le fixas longuement, debout, alors qu'il était couché. Il savait pertinemment que sur ce jeu là, il perdrait. Cependant, il persévérait à grogner. Ce fut alors là que d'une voix froide, presque autoritaire, tout en le fixant, tu lui demandas :

- Hikari, ça suffit maintenant. Il n'y a aucune raison à ce que tu grogne sur cet inconnu. Tes caprices de possession commencent à m'agacer. Tu es libre de partir et tu le sais, alors soit tu arrêtes d'agresser chaque homme venu soit tu nous abandonnes et tu reprend ta vie sauvage.

A cet instant précis, ce fut un couinement qui se fit entendre, puis ton Arcanin baissa la tête. Là, tu t'accroupis, puis tu commenças à lui frotter vigoureusement la tête, avant de finir par lui faire un câlin, tout en lui soufflant :

- Là... Tu vois ...? Il ne se passe rien... Je suis fière de toi... Je t'aimerais toujours... Pardonne-moi d'avoir été si dure avec toi Hikari...

Beroz, qui avait fini par se retourner en entendant le son de ta voix alors que tu réprimandait ton premier pokémon, sembla un peu triste et ses oreilles se plaquèrent sur son crâne en regardant cette scène touchante. Tout comme tu avais sentis cette complicité entre elle et N, elle sentait à présent cette complicité cette bulle si fine et pourtant impénétrable, qui te rendrait à jamais proche de ton Arcanin, plus proche que quiconque. Sur ce point, pokémon ou humains, tous étaient pareils. Finalement, Beroz tourna à nouveau la tête vers N, et souffla, un peu attristée :

- Elle a sa manière de faire... Elle pardonne à tous les pokémons... Toujours... On ne peut pas lui en vouloir au final. Je pense que c'est pour ça que j'ai décidé de passer ma vie avec elle. Elle te ressemble beaucoup... Mais elle a ses différences, comme tout le monde. Ne a blâme pas si elle semble distance ou rêveuse... Il faut apprendre à la connaître pour la comprendre... Elle a toujour seu du mal avec les humains... Hikari le sait plus que tout le monde. Je l'envie un peu... Tant de temps passé avec Tayla... J'aurais aimé la voir, moi aussi, évoluer au fil du temps... Être là pour rire avec elle, pour la consoler lorsqu'elle en eut besoin, la border les soirs où ses cauchemars la hante...

Beroz ne finit pas sa phrase, coupée par l'émotion. Déjà, des larmes perlaient au coin de ses yeux, qu'elle tenta de cacher lorsque tu la regardas en souriant, tandis que Hikari recommençait à te faire des câlins et à te lécher la joue. Depuis quand avais-tu oublié ce que cela faisait ? Tant d'affections de la part de ton Arcanin... La dernière fois fut... Lorsqu'il évolua. Et puis, plus rien. Tu avais presque oublié qu'il était capable d'être aussi affectif envers toi. Mais dans cet élan de joie, tu en oublias Beroz... Non... Tu ignoras, tu ne savais pas qu'elle souffrait en silence de cette complicité.

© Fiche par Beroz

Regardant Tayla, tout en la laissant aller rejoindre l’Arcanin silencieusement. Je l’écoutais au loin, sans pour autant réagir. C’était presque mignon à voir. Certes, elle réprimandait l’Arcanin, mais pas d’une manière vraiment "méchante", seulement un peu comme un adulte ira faire avec son enfant. En un peu plus sec et froid, mais bon. Remarque au final, que le chien de feu me grogne après ou pas, cela m’importais peu. Je lançais un coup d’œil vers les deux types vols quand ceux-ci vit faire un tour autour de moi, pour ensuite continuer leur chemin et aller s’amuser un peu dans les airs, sans pour autant trop s’éloigner. Selon moi, elles étaient mignonnes à voir tous les deux.

Mon regard revit bien vite vers Beroz quand cette dernière planqua ces oreilles sur sa tête, tout en changeant un peu d’air pour un air plus triste. Tentant de rester le plus neutre possible même si c’était dure pour moi, alors qu’elle ne termina même pas sa phrase, je m’approchais d’elle tout en lâchant Ninfia qui fit qu’un rapide bond pour aller se position sur mon épaule. J’arrêtais près d’elle, enfin assez prêt pour que ma tête sois près de la sienne. Fermant les yeux en même temps, tentant de garder mon calme.

- Je comprends. Il a peut-être passé beaucoup de temps avec, mais pourquoi regarder le passée ? Tu as encore toute ta vie pour faire cela, n’est-ce pas ? Murmurais-je.

J’avais aussi envies de pleurer en ressentant Beroz ainsi, mais je ne devais pas… Non. Je devais essayer de rester paisible… Rouvrant mes yeux, tout en éloignant un peu ma tête. Venant ensuite essuyer doucement les débuts des larmes de la Sombrenard d’un doigt, pour ensuite venir lui caresser un peu le côté de sa tête. Je voulais la réconforter. Alors que l’Evoli sur mon épaule lança un coup d’oeil à l’étudiante pour ensuite regarder Beroz.

- Evooo. Volii... Volii evoli voo evo evolii ? Evolii evv li evoli evo ? Evoo. Ev'li evoli li evoli...(Ehuuum. Mais… mais pourquoi ne lui dit pas ce que tu viens de dire lui dire ? Ce que tu ressens pour elle ? Ehum. J’suis sûr qu’elle comprendra…) Terminât Ninfia sur un ton légèrement craintif.

- Cela peut-être dure, mais je suis sûr que ça pourrait vous aider. Approuvais-je les dire de l’Evoli, souriant légèrement à Beroz. – Je le ferais bien, mais cela n’est pas à moi de le faire… Seul toi peux le faire.

Je voulais la réconforter, mais aussi longtemps qu’elle ne ferait pas les premiers pas vers Tayla, leur situation ne changerait guère… Du moins, aussi longtemps que personne ne fessait les premiers pas entre les deux, c’était clair que leur situation allait rester ainsi, n’est-ce pas ?

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Tu venais de te relever pour calmer ton Arcanin, tout en appelant tes pokémons. Il se faisait déjà tard, il fallait que tu rentres... Cependant, observant de loin la scène entre Beroz et N, tu décidas de ne as agir, d'attendre un peu.
En effet, Beroz se laissait totalement faire par son ancien ami et sembla ronronner un instant. Elle finit par tendre ses bras pour lui faire un câlin, qui sonnait un peu comme un câlin d'adieu, mais il dura bien longtemps. Tu semblas heureuse à cette vision, si bien que tu souris en caressant ton Arcanin, qui venait se frotter à toi. La Zoroark finit par rompre ce câlin, pressa son museau contre la joue de N avant de te rejoindre, avec un léger sourire. Cependant, tu ne comptais pas partir sans dire au revoir à cette personne, qui semblait avoir tant faire pour ta Zoroark. Tu t'approchas donc à moins d'un mètre, puis tu parlas.

- Ahem... Merci d'avoir pris soin de Beroz... Je pense l'avoir déjà dit, ou pensé du moins mais... Elle a vraiment changé grâce à toi et... Elle tient beaucoup à toi alors... Merci... J'espère juste qu'elle ne se sentira pas délaissé...

Ah oui... Beroz avait tenu ce petit discours plutôt. Celui où elle racontait qu'elle se sentait mise à l'écart. Sauf que tu ne l'avais pas entendue... Enfin bref... Tu regardas Beroz et lui adressas un sourire, elle sembla alors un peu rassurée, mais ne prit pas la parole. Elle espérait que tu allais t'occuper un peu plus d'elle, étant donné la phrase que tu venais de prononcer. Tu espérais, toi aussi, que tu puisses bien t'occuper de ta nouvelle amie, pour qu'elle ne regrette jamais son choix. Déjà à cet instant, sans avoir besoin de parler, tout laissait à croire que vous étiez sur la même longueur d'onde, et que tout allait changer grâce à cela.

© Fiche par Beroz

Je restais légèrement surpris au câlin de Beroz, sans pour autant le montrer. C’était un geste que j’appréciais beaucoup, surtout venant de la Sombrenard. Je lui caressais le haut du crane doucement, pour arrêter quand elle rompit le câlin. Je savais qu’elle devait partir, malgré que cela me fessait de la peine... Au moins, je savais qu’elle n’était guère seule et puis je finirais bien par la revoir un jour ou l’autre, n’est-ce pas ? Lui souriant doucement, c’était la seule chose que je pouvais faire. Après tout, Beroz avait déjà l’air plus calme. C’était ce qu’il comptait à mes yeux.

Posant mon regard vers l’humaine quand cette dernière s’approchait de moi, lui souriant. Oui. Selon moi, la Zoroark avait trouvée quelqu’un de bien pour rester avec. Chose qui ne pouvait me rendre qu’heureux, surtout que qu’elle avait trouvée, quelqu'un qui n'avait guère l’air de tous les humains banales ou presque qui ne pensaient qu’a eu.

- De rien. Je suis content qu’elle l’est bien, qu’elle est trouvée quelqu’un qu’elle apprécie ! Prends bien soin d'elle. C’est normal de s’occuper de ces amis, n’est-ce pas ? Souriais-je envers Tayla, m’approchant calmement. – Parle lui un peu en privée quand tu en auras le temps. Murmurais-je envers la jeune femme, pour ensuite reculer un peu. Oui. Je voulais être sur que les deux se comprenne, malgré que cela avait déjà l’air de se faire, mais bon. - Je suis sûr que cela n’arrivera point ! Souriais-je autant à l’humaine, qu’a Beroz paisiblement.

Tandis que les deux types vols revirent vers moi. Sonistrelle se posa sur ma casquette, alors que la Tylton prit place sur mon épaule gauche, puisque Ninfia squattait déjà la droite.

- Sonistrelle ? ( On part ? )

- Oui. C’est le temps. Commençais-je envers Sonistrelle, pour ensuite regarder Beroz, puis l’humaine, pour finir par les divers compagnons avec Tayla. – Prenez soin de vous. S’il y a quoique ce soit, vous pouvez revenir me voir. À une prochaine fois. Leur souriais-je, alors que ceux avec moi, leur fit aussi un signe d’au revoir accompagner de leur cri.

Me préparent ensuite à partir, puisque Tayla avait l’air de devoir partie. Visiblement, la petite Tylton n’était pas prête de me lâcher, mais cela ne me dérangeait guère d’un côté, selon moi, elle était libre de faire ce qu’elle voulait ! J’étais content d'avoir revu Beroz dans tout cela !

Hrp:

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N te donna quelques conseils à propos de Beroz. Selon toi, c'était bel et bien incroyable que tu ai pu rencontrer une personne qui ai le même point de vue que toi, bien que cela te fis penser à Soren... Enfin... Il avait réussi à embellir ta journée, qui s'était plutôt bien passée, et pareil pour tes pokémons. Le problème avec Hikari était totalement réglé et, dès aujourd'hui, tu ferais attention à la Zoroark. Tu regardas ensuite N s'éloigner, souriante. Si tu avais un problème... Tu pensais ne pas en avoir mais en même temps, tu espérais en avoir au moins un, qui serait un argument pour retrouver cet homme.

Tu attendis un court instant, puis tu te tournas vers tes pokémons, signalant que l'heure du départ était arrivé. Hikari porta les deux petits pokémons, tandis que Denki retrouva sa place sur ton épaule et, doucement, tu pris la route de ta chambre. Beroz ne cessait de se souvenir de cette retrouvaille inespérée, et toi, tu retenais chacun des conseils de N, que tu allais appliquer dès à présent pour être sûre que Beroz ne se sente pas seule, pour qu'elle soit sûre d'être à sa place, dans ton équipe, avec toi, et en tant qu'amie.

HRP:

© Fiche par Beroz

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