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| Floraison d'une Amitié? [Yuki Ogawa] | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Floraison d'une Amitié? [Yuki Ogawa] Jeu 2 Mai - 18:45 | |
| PARFUM DE NOUVEAUTE
Je posai nonchalamment mon regard à peine éveillé sur la fenêtre qui se trouvait juste en face de mon lit. Assis sur le dit meuble, éclairé par les doux rayons du soleil levants, je regardais avec délice ce paysage tendrement éclairé par la délicate lumière matinale de ce jour-ci. Sous le ciel rosé et dépourvu du moindre nuage des premières heures de la journée, l’herbe tendre semblaient se balancer au rythme léger, libre et lent du vent. Entre ses minces mais pourtant si nombreux brins verts comme l’émeraude, quelques fleurs dansaient également, guidées par la valse délicate du souffle aérien aux allures enchanteresses. Ces frêles ballerines laissaient leur corolle aux si belles couleurs s’agiter librement, sans la moindre recrue. Je voyais ces pétales se déplacer gracieusement, faisant défilé rose, jaune, blanc et orange sous mes yeux charmés. Les beaux jours étaient enfin là, nous libérant ainsi de la cruelle morsure du froid. L’hiver qui n’avait de cesse de glacer nos cœurs et nos peaux rendues rouges écarlates était à présent derrière nous, nous permettant ainsi d’oublier ces glaciaux jours si longs et monotones, peints de blanc et de gris. La vie reprenait, les couleurs renaissaient et illuminaient chacune des minutes que nous vivions dès cet instant. Oui, le printemps était là. Le renouveau commençait en cette matinée-ci. Je ne souhaitais qu’une chose, profiter du temps avant qu’il ne disparaisse comme chaque année. Cette idée ancrée dans ma tête blonde, je me levai doucement de mon nid douillet, délaissant ainsi les draps froissés mais pourtant immaculés dans lesquels j’avais passé la nuit dernière, celle qui avait amorcé le début de cette saison de fraîcheur et de liberté. Je me dirigeai a pas de loups, tentant de me faire le plus silencieux possible à l’égard de Hoshi qui, insouciant, le cœur apaisé, dormait encore à poings fermés. Fujimi, lui, se reposait dans sa Pokéball puisqu’incapable de pouvoir passer la nuit dans mes appartements. Le manque d’eau en grande quantité ne lui permettait évidemment pas de pouvoir respirer pleinement. Toutefois, cela présentait un avantage : je n’avais pas à me soucier de son sommeil fragile et des conséquences dramatiques d’un réveil brusque le concernant. Cela ne serait pas triste, croyez-moi. Je pris la poignée du grand meuble de bois pâle et la tirai vers moi lentement, ne voulant pas brusquer les choses, tentant de ce fait de ne pas réveiller de réveiller mon partenaire. Toutefois, lorsque j’eus une vision intégrale de tout ce que contenait cette partie de mon mobilier, mon casque noir comme les nuits les plus ténébreuses tomba du haut de ces quelques deux mètres de haut. Il entra violemment en contact avec ce plancher que je frôlais chaque matin, chaque nuit. Un énorme son lourd retentit. Le Minidraco se réveilla, forcé de quitter ses songes. Il sursauta et grogna quelque peu, perdu dans ses paroles mêlées à ses rêves imprécis, fantasques qui venaient de prendre fin bien trop vite à son goût. Cette fois-ci, il n’avait pas eu le temps de profiter d’un plein sommeil comme il l’aurait souhaité mais qu’importe la durée ou la fin de ses vœux intérieurs, il les aurait oubliés bien peu de temps après avoir ouvert les yeux. Il en était ainsi. Il était réveillé, il était temps de profiter de tout autre chose que les joies du sommeil. Je commençai alors un minutieux tri parmi les nombreuses œuvres textiles que je possédais après m’être excusé auprès du Pokémon Dragon. Mes doigts continuaient de s’agiter à la recherche du bon haut tandis que mes yeux évaluaient fort rapidement ce qui je souhaitais, ou non, porter. Finalement, après quelques minutes de recherche intensive, je trouvai quelque chose de satisfaisant. Un pull en laine ni trop fin ni trop épais. « Il fera parfaitement l’affaire », me dis-je. Il se disait que cette couleur était très à la mode ces temps-ci. Du moins, c’était ce que Maman m’avait dit en me l’offrant. Toujours est-il que je trouvais cette teinte entre le vert et le bleu parfaitement adéquate à la saison, cela m’inspirais une certaine fraîcheur. Je retirai donc mon haut de pyjama rayé et, prestement, ne souhaitant plus perdre de temps, j’enfilai ce que je venais de déterrer des profondeurs les plus obscures de mon meuble de rangement. Je saisis également, sans y prêter vraiment attention, un jeans aux couleurs délavées, qui , tout du moins à première vue distraite, irait parfaitement avec ce tricot rayonnant, vivifiant. Parmi mes quelques paires de chaussures, je sélectionnai des Converses dont la toile teinte d’un turquoise lumineux s’accordait parfaitement à ma tenue. Je pris également ma fameuse ceinture et la nouai à ma taille, la serrant juste assez afin de bien tenir mon pantalon éclairci. Voilà, j’étais prêt. Je pris la Pokéball du Magicarpe au caractère fier et l’accrochai à cette bande de cuir qui entourait mon bassin. Je demandai à Hoshi de grimper sur mes épaules et nous partîmes alors ensemble, prêts à profiter du printemps. -Fujimi, viens prendre un peu l’air, dis-je en libérant le Pokémon Poisson de son univers holographique.Un éclair lumineux jaillit subitement de la sphère métallique bicolore au beau milieu du Parc de Gakuen. Le tracé de lumière aux reflets nacrés s’éleva rapidement dans les airs tout en zigzaguant, semant des éclats aux allures fantasmagoriques au-dessus de mon premier Coéquipier et moi. Subitement, suivant ainsi l’une des règles fondamentales de la physique : « Tout ce qui monte redescend ». Le serpentin fait d’étincelles retomba alors, plongea subitement dans l’eau claire, pure et miroitante. Sous ce poids inattendu, le miroir aqueux se brisa et de nombreux éclats liquides se dispersèrent autour de ce petit point d’eau, délicat mirage au beau milieu des premières parfums floraux et des jeunes parures sylvestres, celles-ci même qui remplaceraient les feuilles écarlate tombée set oubliées durant ces derniers mois. Mon regard se porta sur mon deuxième compagnon, ce fameux Magicarpe qui à présent baignait tranquillement au côté de son dernier adversaire, Hoshi. Je leur souris gentiment puis leur dit qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient dans l’eau de ce bassin naturel auxquels personne ne semblait réellement prêter attention, à condition qu’ils ne créent pas de problèmes. Ils acquiescèrent bien que Fujimi ait pris un air boudeur une fois cette phrase prononcée. La carpe rouge brûlant n’aimait pas recevoir d’ordres, question d’égo sans doute surdimensionné par rapport à son espèce. Parfois, il m’arrivait de penser à ce qu’il deviendrait une fois le stade de Léviator atteint. Pour être franc, ce genre d’idées me faisait frémir. Mais ce n’était pas encore le moment de penser à cela, nous avions le temps de voir venir. La fabuleuse créature ne présentait, pour l’instant, aucun signe d’évolution prochaine. Ainsi, sa transformation en tyran saphir des mers n’était pas encore pour tout de suite. Encore chance, pensais-je. Assis sur ce rocher mousseux, abrité sous un arbre aux décorations rosées et parfumées, je les regardais se dépenser parmi rafraîchissantes les molécules d’H20 présentes par litre et par litre. Le temps passait sereinement en cette matinée de liberté. Rien n’était à signaler puis, soudainement, j’entendis quelqu’un approcher de nous trois. Dans mon dos, ses pas lents, nonchalants de par leur fréquence, écrasaient l’herbe émeraude qui enfin respirait un air réchauffé par l’astre solaire. J’ignorais ce qu’il recherchait, je ne savais pas qu’il était. Pourtant, il continuait d’avancer et je le sentais toujours plus proche. Voulait-il me parler ? Cela m’aurait étonné, personne ne me connaissait ou presque. Je n’étais qu’un élève parmi les autres, au même titre que toutes ces plantes colorées que je pouvais voir s’agiter dans la brise raffinée. Désirait-il se reposer sur cette roche, celle-ci même sur laquelle j’étais assis ? Je n’en savais rien et je me contentais d’attendre tout simplement, laissant les secondes qui passaient nous rapprocher de la même façon qu’elles me rapprochaient de l’été. Après tout, que faire d’autre ? Ses pas s’arrêtèrent. Hoshi et Fujimi stoppèrent leur élan, cessèrent de se mouvoir. Leur regard se pointa dans ma direction, sans aucun doute afin d’observer plus attentivement cette personne inconnue qui, je le présageais, ne serais plus un visage sans nom au fil des minutes qui, en cet instant, nous éloignaient d’une nouvelle rencontre. Je pris une grande inspiration, me disant que tout irait bien puis me retournai. D’une voix presque confiante, tout du moins qui ne laissait sans doute guère paraître mes doutes, je pris la parole. -Bonjour, dis-jour tout en souriant. On profite du printemps ?J’attendis la réponse de celui que jamais je n’avais vu. Comme par hasard, le soleil se dévoila encore plus à ce moment-là, illuminant de sa lumière claire le visage que je venais de découvrir. - Spoiler:
J'en conviens, ma réponse n'a, au fond, rien d'exceptionnel et est plutôt courte. J'espère que que cela t'ira tout de même. J'ai hâte de poursuivre ce petit RP avec toi.♥
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| Sujet: Re: Floraison d'une Amitié? [Yuki Ogawa] Sam 11 Mai - 16:16 | |
| « Queulorior queulorior queu queu ! » « [Yuki réveille-toi ! ] »
Il devait être 8h, aujourd’hui Yuki ne travaillait pas, d’ailleurs c’est à se demander quand il travaille. Aujourd’hui il faisait beau, le printemps était là et c’était vraiment différent de la période qui venait de passer. Les oiseaux chantaient, le soleil brillait, les rires se faisaient entendre, tout le monde est plus heureux quand il fait beau. Le plus heureux avait d’ailleurs l’air d’être Queulorior, il sautait de partout, il venait d’ouvrir les volets de la chambre, il avait l’air de vouloir faire partager cette joie. Joie pas vraiment apprécié sur le coup par Yuki, faut avouer qu’il n’a dormi que 10heures… Le pauvre. Massko et Farfuret avaient eux aussi eu le droit à la forte joie du peintre.
« Qu’est-ce qu’il y a ? J’suis fatigué… » Toujours avec ce sourire au lèvre Queulorior répondit « [Aujourd’hui il fait beau, et toute cette beauté m’a donné envie de peindre. Je sais que ça peut paraitre idiot, mais-] » Le pokémon n’eut le temps de finir sa phrase que le surveillant le coupa. « Il n’y a rien d’idiot là dedans Queulorior, je suis même heureux, tu peins parce que tu en as envie et pour moi c’est une joie. » Le pokémon avait les yeux qui brillaient de mille feux. « Et puis je te l’ai déjà dis, tu es libre ! »
Le pokémon au pinceau venait d’atteindre un pic de joie tel qu’il ne pu s’empècher de verser une petite larme en direction de son dresseur. Heureusement qu’il avait récupérer tout le matériel pour peindre de chez son ancien maître, même s’il ne voulait plus en entendre parler il n’aurait pu jeter des choses si précieuses.
« Juste comme ça tu as une idée d’où tu voudrais peindre ? » « [C’est vrai je n’y ai pas pensé, et bien je ne sais pas, je ne connais pas encore toute l’Académie donc… » « Donc on va te faire visiter et dès que tu as un coup de cœur tu nous le dis. »
Le pokémon hocha simplement la tête, cette simple matiné fut plus pour Queulorior, il comprenait ce qu’étais la liberté. Être capturé ne signifiait pas ne plus rien faire par soit même, du moins tout dépend de la personne, mais le pokémon au pinceau se disait qu’il n’était pas mal tombé… Loin de là.
« Bon Massko, Farfuret, je suis prêt donc c’est quand vous voulez ! »
Les deux pokémons étaient surpris par le changement de comportement de leur dresseur, il était vraiment actif ce matin, pour une fois que ce n’était pas lui qui traînait la patte au lit. Et en plus de ça il n’était pas obligé par le travail, un vrai changement !
« Qu’est ce que vous attendez ? »
Massko se lèva avec un petit sourire en coin. « [Yuki, t’es vraiment un bon dresseur, Queulorior ne te recrêtera pas.] » Le jeune Ogawa était surpris par les paroles de son Pokémon, mais surpris dans le bon sens du terme. Cela faisait plus de 10ans qu’ils se connaissent, mais il avait toujours l’impression de découvrir son premier pokémon.
« Et ce n’a sera pas simplement grâce à moi. Allez, on y va, Queulorior nous attend. »
Effectivement le pokémon était déjà devant toiles en main, il scrutait le paysage à la recherche du moment à immortalisé…
« Hey en y pensant j’avais une idée, ici tu n’auras que des bâtiments, alors que dehors il y a le parc de Gakuen, quand dis-tu ? » « [Parfait, allons-y ! ]» « Dans ce cas direction le parc ! »
Voilà nos quatre personnages allant en direction du parc, Queulorior était devant prêt à peindre, Massko le suivait tranquillement et derrière se trouvait Farfuret pas vraiment réveillé qui se tenait au côté de Yuki qui était lui assez peu vêtu pour la journée puisqu’il portait simplement un simple t-shirt blanc. Mais le temps aujourd’hui était vraiment agréable, cette journée ne pourrait être qu’une bonne journée, rien ne pourrait la rendre moins belle, tout pourrait la rendre plus jolie.
« [Là-bas, c’est là que je veux peindre !] »
Le pokémon pointait du doigt un bassin remplit d’eau, dans lequel se trouvait deux pokémons, l’un ressemblant à un Magicarpe et l’autre était un peu moins visible à cause de sa couleur bleuté et des rayons du soleil. En compagnie de ces petites bestioles se trouvait un jeune dresseur, sûrement un étudiant de l’Académie, il se trouvait sur un petit rocher au bord de l’eau. Enfin, Queulorior avait décidé de peindre ici, alors monde ou pas monde il fallait faire avec, et puis sait, peut-être que cela risquait d’être encore plus intéressant.
« Bonjour. On profite du printemps ? »
Yuki ne pensait pas entendre des mots si rapidement de sa bouche, surtout pour faire connaissance, mais bon qu’avait-il de mauvais là-dedans ? Rien. Ce temps a vraiment un pouvoir fascinant, quand il fait beau on a cette impression que tout le monde est heureux, et si on fait un tant soit peu attention à ce temps et bien l’on oublie tous nos problèmes…
« Hum, salut à toi, et bien on dirait ! A vrai dire je suis là pour mon Queulorior. Ce temps lui a donné envie de peindre, et cet endroit est celui où il a décidé de poser sa toile. »
Yuki se posa ensuite au bord de sa basin, Queulorior quand à lui avait posé sa toile en direction du paysage environnant, comme si ce fond plein de vie et remplis d’eau l’aidait. Massko lui était debout il avait l’air de chercher en endroit pour pouvoir se reposer à peine après s’être levé. Farfuret quand à lui s’adossa contre ce basin, juste au pied de son dresseur. Et bien le printemps est là, et la matinée prend tout à coup une nouvelle forme, le pouvoir du beau temps…
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Floraison d'une Amitié? [Yuki Ogawa] Dim 12 Mai - 11:45 | |
| -Hum, salut à toi, et bien on dirait ! A vrai dire je suis là pour mon Queulorior. Ce temps lui a donné envie de peindre, et cet endroit est celui où il a décidé de poser sa toile.
Telle était sa réponse. Je découvris ainsi son visage et, par la même occasion, son visage jeune, orné de deux yeux d’un ver perçant. Ses cheveux, entre le court et le long, d’un brun puissant et fort était parsemé çà et là de quelques reflets châtains. Il est vrai qu’à ces quelques lignes, il pourrait bel et bien paraître quelque peu commun, mais il n’en était rien, non. Il possédait quelque chose que bien d’autre personne n’avait pas, quelque chose de réellement surprenant, ce genre de détails qui, sans le moindre doute, sont capables de vous marquer à vie. J’en étais certain, jamais je n’oublierai ce garçon doté de ces ornements frontaux clair comme la lune. Il portait un simple T-Shirt blanc comme la neige à présent portée disparue et une veste marron, laquelle présentait une fourrure aux allures douces comme le velours, à la couleur crème. Un simple jeans comme on en croisait bien souvent à l’Académie venait compléter sa tenue charismatique. Car oui, il avait de l’allure et sa particularité ne faisait que renforcer tout cela. Mon regard se posa ensuite sur ce grand lézard vert comme les feuilles dansantes dans le vent et au ventre rouge sang qui se tenait debout, non loin de son dresseur. Dans ses yeux, je pouvais lire l’envie de se reposer, de se poser quelque part. D’ailleurs, je ne connaissais pas cette race. Contre le bassin, un Pokémon aux couleurs sombres comme la nuit et flamboyantes comme le feu se tenait juste aux pieds de cet inconnu que je venais de rencontrer. Enfin, le fameux artiste posa sa toile face à ce paysage entre terre et eau, palette infinie de bleu et de verts plus diversifiés les uns que les autres. Originaire de Johto, je connaissais fort bien cette espèce et voir un de ces Pokémons me rappelait inévitablement mes nombreuses virées à Doublonville où, souvent, je pouvais admirer ces peintres se livrer à leur art devant les passants toujours admiratifs, subjugués par le talent de cet être adepte des couleurs. Souvenirs, souvenirs. Peut-être allait-il peindre Hoshi et Fujimi, qui sait. Ce quatuor aux airs détendus et apaisés paraissait heureux. Le temps ensoleillé y était-il pour quelque chose ? J’en étais persuadé. Durant des jours comme celui-ci, le simple fait de laisser de côtés ses soucis et ses démons suffisait amplement à profiter de la vie. Une fois que j’eus fini ma première observation de cette équipe, qui fut forte rapide, je répondis à mon nouvel interlocuteur.
-C’est vrai que le paysage est beau ici, il a bon goût, dis-je souriant. Au fait, je m’appelle Maxime, Maxime Lewis, je suis coordinateur et toi ? Je crois qu’on ne s’est jamais croisés dans les couloirs, ni dans les dortoirs… Tu suis quel cursus, si j’ose te poser la question ?
En attendant la réponse de ce jeune homme, sûrement âgé de dix-huit ou vingt ans, je sortis mon Pokédex de ma poche tranquillement puis le mis en marche. L’écran s’alluma et afficha alors ce mythique interface connu de toutes et tous. Je visai, si l’on puisse dire ainsi, le Pokémon que je présumais de type végétal et attendis la mise au point en toute sérénité. Je lançai joyeusement un : « J’espère que ça ne te dérange pas, mais je ne connais pas l’espèce de ton partenaire » . Un éphémère chargement se lança puis, les informations tant données apparurent sous forme de pixels.
Massko, Pokémon Bois Gecko
Type : Plante Taille : 0,9 m. (Statistiques moyennes) Poids : 21.6 kg. (Statistiques moyennes)
Informations Complémentaires : En évoluant, Massko a gagné de puissantes armes : ses feuilles. En effet, celles-ci peuvent être rendues aussi tranchantes que des rasoirs, rendant le reptile très dangereux. Cette faculté est principalement utilisée lors de l’attaque Lame-Feuille. Ses pattes arrières sont extrêmement développées d’un point de vue musculaire et lui donnent la possibilité de sauter à des hauteurs impressionnantes. Cette aptitude est terriblement utile dans son habitat naturel, qui n’est autre que la jungle. Massko est l’évolution d’Arcko, lui aussi appelé Pokémon Bois Gecko et également la pré-évolution de Jungko, le Pokémon Forêt.
J’avais donc raison, ce grand gecko était donc un Type Plante. Toutes ces précieuses informations m’appirent énormément sur cette espèce que je n’avais jamais vue. Cela me rappela également que je me devais de présenter mes partenaires à ce dresseur. Après tout, ce n’était rien d’autre que la moindre des choses, non ? Je regardai donc mes deux partenaires qui profitaient amplement de la fraîcheur de l’eau et reprit, encore une fois, la parole. Etrangement, je ne me sentais pas anxieux auprès de celui que j’imaginais élève en fin d’études. J’étais à l’aise, je ne me prenais tout simplement pas la tête.
-Le Minidraco que tu peux voir dans l’eau, c’est mon premier Pokémon. Il s’appelle Hoshi et ne se prend pas vraiment la tête. Il profite de la vie, voit toujours les choses du bon côté. Les jours de blues, il est d’un redoutable soutient, commentais-je. Là-bas, non loin de Hoshi, c’est Fujimi. Ce Magicarpe est une vraie teigne. Fier, combattif, susceptible, il peut avoir l’air mauvais, c’est vrai. Pourtant, au fond, quand il est de bonne humeur, c’est quelqu’un de bien. Pour le moment, on n’est que trois, mais je suis persuadé que plus tard, on sera une grande équipe !, déclarai-je l’ambition dans la voie. Au passage, votre équipe est vraiment classe, vous avez l’air soudés.
Je me détournai et attendis que le garçon cornu réponde. Peut-être avais-je trop parler, je n’en savais rien. A mon avis, ce n’était pas le cas. Je n’avais pas à craindre une quelconque animosité de sa part, je le sentais. Il paraissait simple, respectueux. Quelqu’un de bien sûrement. |
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